PROJET
Les habitants de Dékpo n’avaient pas d’accès à l’eau potable. La vie leur était très dure.
Résultats – Témoignages – Remerciements
ODD atteints : N°3; N°6; N°8
Notre Projet 10 forages de puits au Bénin
L’eau potable, cette denrée alimentaire sans laquelle les luttes sont vaines contre les maladies d’origine hydrique qui ravagent des vies humaines, est bien plus qu’une boisson luxueuse rare, même inatteignable pour certaines populations. C’est une fatalité scandaleuse de ne pas en disposer, et ceci pousse “Jeunesse en détresse Internationale“ à agir.
Celle-ci se donne la mission d’aider à remédier à cette misère implacable. Pour ce faire, mettre tout en œuvre pour les forages de 10 puits afin d’en finir avec des infections rageuses qui se contractent de manière banale par l’eau à boire : attaquer le mal à la racine.
Nouveau projet: PAAEPRE
Il s’agit d’un Projet d’Appui à l’Accès à l’Eau Potable et à la Réduction des Maladies liées à l’Eau.
Le développement social et durable ne peut se réaliser sans certaines conditions minimales. Les femmes sont très actives en vue de leur autonomie et de leur bien-être. Mais leurs efforts se soldent souvent par des échecs parce qu’elles ne savent ni lire ni écrire leurs langues d’expression.
La maîtrise de la langue, et à plus forte raison celle qui est la leur propre, est cependant un facteur essentiel, pour traduire les réalités qui existent dans les domaines où elles sont actives, notamment en termes d’économie. Lors des opérations bancaires (le prêt entre autres par exemple), les femmes sont confrontées à d’énormes difficultés : tenir leur comptabilité, maîtriser les flux de papiers, sont autant d’exigences qui constituent pour elles un véritable casse-tête.
Le domaine de la santé est un autre lieu de grande dépendance où elles ne sont pas en mesure de lire et de comprendre les prescriptions médicales en vue de l’administration concrete des médicaments. Par ailleurs, lors des élections où les femmes sont appelées à faire des options en tenant compte de leurs conditions de vie, ainsi qu’à voter pour des candidats pouvant défendre leurs causes, elles se rendent aux urnes sans réellement comprendre les raisons pour lesquelles elles y vont. Voilà ce qui explique la nécessité de renforcer les capacités et de valoriser les efforts des femmes.
Les sortir de l’analphabétisme, c’est leur donner de l’autonomie. Cette exigence est une mesure qui aura un impact significatif et inestimable à divers niveaux pour un développement qui doit être durable au plan de la santé, de l’économie et de la gouvernance.
Négliger cet aspect, c’est bien au contraire conserver ce handicap qui constitue non seulement une barrière pour les femmes dans leurs aspirations au développement, mais aussi un préjudice sans précédent pour elles.